jeudi 6 décembre 2012

La saison du pardon et le signe des trois !

Suite du feuilleton :

(voir: 
http://sherlockcomicschop.blogspot.fr/2012/12/herlock-et-mylock-lun-contre-lautre.html,

http://sherlockcomicschop.blogspot.fr/2012/12/le-dernier-detective-de-la-terre-ou-pas.html,
http://sherlockcomicschop.blogspot.fr/2012/11/sherlock-holmes-cest-quand-meme-pas-la.html et : http://sherlockcomicschop.blogspot.fr/2012/12/mylock-bloodstalker-et-herlock-domes.html)

 "bientôt Noël ou bientôt l'apocalypse" avec le match Mylock Bloodstalker (aux côtés de Kamandi le dernier garçon de la terre dans les épisodes 56  et 57 du vol 6. de sa série, dont l'aventure intitulée "le signe des  trois !") contre Herlock Do-(Ho-Ho-H)omes et ses jeux (in Supersnipe v2 n°10 & 11) qui sentent un meilleur sapin, mais auparavant pour fêter la Saint Nicolas voici une courte histoire tirée de la revue "Within our reach" de 1991 dans laquelle Watson découvre que son meilleur ami s'il n'est pas toujours un cadeau, peut faire exception !


































































































 

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Artemis:
La BD de Holmes et Watson à Noël est juste gigantissime! merci pour cette trouvaille chevalier Dupin! Le cadrage, l'histoire le dessin, c'est parfait!

Si je voulais chipoter, j'aurai peut être à redire sur les couleurs: de grands aplats sans nuance, mais ça donne un c^poté old school, donc c'est surtout question de gout.

(finalement c'est bien qu'un imbécile ait décidé de jouer du marteau piqueur à 2h du matin, ça me fait rattrapper mes lectures en retard sur ce blog.)

Gilibert Thierry a dit…

J'adore Pat Oliffe. J'avais découvert son talent chez Marvel Comics notamment sur ses épisodes de Spider-Girl. Il n'a pas le brio des plus grands mais il ne trahit jamais les personnages qu'il met en scène et ses dessins s'ils ne sont très spectaculaires, sont quasi sans défaut. Il travaille effectivement à l'ancienne pour les couleurs et je dois dire pour ma part que je préfère souvent son style à d'autres trop tape-à-l'oeil c.f. l'abus d'usage de logiciels.
Je suis ravi que son historiette t'ait plu. Quant au scénario, il faut savoir que Martin Powell adore conférer à Holmes les émotions qu'a priori il est peu enclin à ressentir. Sa collaboration avec l'artiste Seppo Makinnen (The case of the missing martian, return of the devil, Scarlet in gaslight...)l'a particulièrement démontré par le passé.